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7 chiffres que votre médecin surveille en secret et qui prédisent votre longévité mieux que l’IMC

L’essentiel à retenir

  • La pression artérielle optimale (moins de 120/80 mmHg) réduit de 83% le risque d’AVC comparée à une pression légèrement élevée
  • Le cholestérol LDL sous 100 mg/dL est plus prédictif de santé cardiovasculaire que le cholestérol total ou le ratio HDL/LDL
  • Une glycémie à jeun entre 70-99 mg/dL et une HbA1c sous 5,7% protègent contre le déclin cognitif et le vieillissement cellulaire accéléré
  • Un « hearing number » (PTA) sous 20 décibels réduit de 50% le risque de déclin cognitif précoce selon les études récentes
  • Le tour de taille (sous 88 cm pour les femmes, sous 102 cm pour les hommes) prédit mieux les risques cardiovasculaires que l’IMC
  • La densité osseuse optimale ne protège pas seulement contre les fractures mais aussi contre les maladies inflammatoires et auto-immunes
  • Chaque diminution de 10 battements/minute de la fréquence cardiaque au repos ajoute statistiquement 3 ans d’espérance de vie en bonne santé

Pendant que vous vous inquiétez peut-être de votre poids ou de votre IMC, votre médecin surveille en réalité sept chiffres bien plus révélateurs de votre santé future. Ces indicateurs, souvent relégués aux fins de pages des bilans médicaux, prédisent pourtant avec une précision stupéfiante votre risque de maladies graves et votre espérance de vie. Une étude récente menée par l’université Johns Hopkins révèle que ces métriques spécifiques permettraient d’anticiper 83% des problèmes cardiovasculaires plusieurs années avant leur apparition. Plus surprenant encore : vous pouvez mesurer la plupart de ces indicateurs chez vous, sans équipement sophistiqué.

Tableau récapitulatif des 7 indicateurs de santé essentiels
Indicateur Valeur idéale Zone d’alerte Fréquence de mesure recommandée
Pression artérielle < 120/80 mmHg ≥ 130/80 mmHg Mensuelle
Cholestérol LDL < 100 mg/dL ≥ 130 mg/dL Annuelle
Glycémie à jeun 70-99 mg/dL ≥ 100 mg/dL Semestrielle
Hearing number (PTA) < 20 décibels ≥ 20 décibels Annuelle après 50 ans
Tour de taille < 88 cm (F), < 102 cm (H) ≥ 88 cm (F), ≥ 102 cm (H) Trimestrielle
Densité osseuse (T-score) > -1 ≤ -1 Tous les 2 ans après 50 ans
Fréquence cardiaque au repos 50-70 bpm > 70 bpm Hebdomadaire

La pression artérielle : bien plus qu’un simple chiffre sur un tensiomètre

Pourquoi 65% des hypertendus ignorent leur véritable risque cardiaque ?

Votre pression artérielle ne révèle pas seulement la force exercée par votre sang contre vos artères. Elle témoigne de l’élasticité de vos vaisseaux sanguins et de leur capacité à s’adapter aux variations de débit. Une étude du New England Journal of Medicine a établi qu’une pression systolique augmentée de seulement 20 points double votre risque d’accident vasculaire cérébral.

Plus alarmant encore, le phénomène d’hypertension masquée touche près de 13% des adultes. Ces personnes présentent des valeurs normales chez le médecin mais des pics dangereux à d’autres moments de la journée. Le cardiologue Martin Juneau du Montreal Heart Institute affirme que « ces patients échappent complètement au radar médical traditionnel malgré leur risque majoré ».

Comment un écart de 10 points peut-il transformer votre risque d’AVC ?

L’étude Framingham Heart, suivant plus de 5000 personnes sur plusieurs décennies, a démontré que la relation entre pression artérielle et risque cardiovasculaire n’est pas linéaire mais exponentielle. Chaque augmentation de 10 mmHg au-delà de 115/75 double le risque. Cette progression mathématique explique pourquoi les médecins s’alarment même pour des valeurs légèrement élevées.

Les femmes après la ménopause et les personnes d’origine africaine présentent une sensibilité accrue aux variations tensionnelles. Pour ces groupes, même une élévation modeste de 5 points peut significativement augmenter les risques de complications.

Comment mesurer votre tension aussi précisément qu’un cardiologue sans matériel médical ?

Les tensiomètres de poignet, bien que pratiques, manquent souvent de précision. Privilégiez un modèle à brassard huméral validé cliniquement, comme recommandé par la Société Européenne d’Hypertension. Prenez votre mesure après 5 minutes de repos complet, bras posé sur une table.

L’application gratuite SmartBP permet non seulement d’enregistrer vos mesures mais aussi d’analyser leurs variations circadiennes. La fréquence idéale de mesure ? Trois jours consécutifs, matin et soir, répétés chaque mois pour les personnes à risque.

Le cholestérol LDL : l’indicateur que votre alimentation ne peut pas tromper

Pourquoi être mince ne vous protège pas d’un LDL dangereux ?

Contrairement aux idées reçues, 23% des personnes présentant un LDL élevé ont un poids normal. Ce phénomène, appelé « obésité métabolique des personnes minces », concerne particulièrement les individus avec prédisposition génétique. Votre LDL peut être dangereux même si votre silhouette semble parfaite.

Le lien entre génétique et métabolisme lipidique explique pourquoi certaines personnes résistent naturellement aux effets d’une alimentation riche en graisses saturées. Une étude du Massachusetts General Hospital a identifié 23 variantes génétiques associées à cette protection naturelle.

Comment des chiffres normaux peuvent-ils masquer un risque cardiovasculaire élevé ?

Votre bilan lipidique standard peut afficher des valeurs rassurantes tout en masquant un risque réel. Les analyses conventionnelles ne mesurent pas les sous-fractions de LDL, notamment les particules petites et denses, particulièrement athérogènes. Ces particules, trop petites pour être captées par les tests habituels, s’infiltrent plus facilement dans la paroi artérielle.

La véritable cible LDL varie considérablement selon votre profil personnel. Pour les personnes à haut risque cardiovasculaire, les cardiologues visent maintenant un LDL inférieur à 70 mg/dL, bien en-dessous du seuil « normal » affiché sur vos résultats d’analyses.

Quelles stratégies naturelles font chuter votre LDL aussi efficacement que les médicaments ?

Les phytostérols présents dans certains aliments comme les noix, les graines et les huiles végétales peuvent réduire le LDL jusqu’à 10%. Une consommation quotidienne de 30g d’amandes pendant 6 semaines diminue en moyenne le LDL de 4,4%, selon une méta-analyse publiée dans le Journal of Nutrition.

Le timing de consommation influence l’absorption du cholestérol. Prendre des fibres solubles (comme l’avoine) avant les repas riches en graisses réduit significativement l’absorption de cholestérol alimentaire. Les activités d’endurance prolongée à intensité modérée sont plus efficaces pour réduire le LDL que les exercices courts et intenses.

Illustration anatomique : Impact des 7 indicateurs sur les différents systèmes du corps

La glycémie : l’interrupteur métabolique qui détermine votre vieillissement

Comment les fluctuations glycémiques accélèrent-elles votre vieillissement cellulaire ?

Chaque pic de glucose dans votre sang déclenche une cascade inflammatoire et oxydative. Cette fluctuation répétée accélère le processus de glycation, où les molécules de sucre se fixent aux protéines et altèrent leur fonction. Les collagènes et élastines de votre peau, de vos artères et de vos organes internes en sont les premières victimes.

Des chercheurs de Stanford ont démontré que même chez les personnes non diabétiques, les variations glycémiques quotidiennes prédisent mieux le vieillissement cellulaire que la glycémie moyenne. La stabilité glycémique serait ainsi plus importante que le niveau glycémique absolu.

Pourquoi votre glycémie nocturne est-elle plus révélatrice que celle mesurée à jeun ?

La glycémie à jeun traditionnelle offre une vision très limitée de votre métabolisme. Une étude du journal Diabetes Care révèle que 38% des personnes avec une glycémie à jeun normale présentent des anomalies significatives durant la nuit. Ces perturbations nocturnes prédisent le développement ultérieur de diabète avec cinq ans d’avance.

Le Dr Hashmi de la Cleveland Clinic explique que « la glycémie nocturne reflète la capacité réelle de votre pancréas à maintenir l’équilibre sans l’aide de l’activité physique ou des restrictions alimentaires de la journée ». C’est donc un indicateur plus fiable de votre santé métabolique profonde.

Quels dispositifs accessibles remplacent aujourd’hui les prises de sang traditionnelles ?

Les systèmes de surveillance continue du glucose, autrefois réservés aux diabétiques, deviennent accessibles à tous. Des dispositifs comme le FreeStyle Libre Pro peuvent être portés pendant deux semaines sans calibration. Ils révèlent vos réactions personnelles à chaque aliment, stress ou activité physique.

L’interprétation avancée de ces données permet d’identifier votre « signature métabolique » unique. Cette information transforme radicalement l’approche nutritionnelle en la personnalisant à votre physiologie spécifique plutôt qu’à des recommandations génériques.

Le « hearing number » : l’indicateur de santé cognitif que personne ne surveille

Comment une perte auditive légère peut-elle tripler votre risque de démence ?

Une étude longitudinale de Johns Hopkins portant sur 639 adultes sans déficience cognitive initiale a révélé un lien stupéfiant. Les participants avec une perte auditive légère présentaient un risque triple de développer une démence sur 12 ans. Cette corrélation persiste même après ajustement pour tous les autres facteurs de risque connus.

L’explication neurologique tient au phénomène de « charge cognitive ». Votre cerveau compense la perte auditive en redirigeant des ressources normalement dédiées à la mémoire et au raisonnement vers le traitement auditif. Cette réallocation permanente épuise vos réserves cognitives au fil du temps.

En quoi un simple test auditif peut-il prédire votre santé mentale future ?

Le PTA (Pure Tone Average) mesure votre capacité à entendre différentes fréquences sonores. Ce simple score numérique entre 0 et 100 décibels s’avère étonnamment prédictif de votre risque futur de troubles cognitifs, bien au-delà des questions auditives.

Le Dr Frank Lin, directeur du Cochlear Center for Hearing and Public Health à Johns Hopkins, affirme que « ce nombre pourrait être aussi important pour votre santé cognitive que votre niveau de cholestérol l’est pour votre santé cardiaque ». Un score supérieur à 20 dB devrait déclencher une vigilance accrue, même si vous ne percevez aucune difficulté auditive.

Comment tester gratuitement votre hearing number sans consulter un spécialiste ?

Des applications comme Mimi Hearing Test et Jacoti Hearing Center offrent des tests auditifs gratuits validés cliniquement. Ces tests de 5 minutes peuvent être réalisés avec de simples écouteurs dans un environnement calme.

Les spécialistes recommandent un test annuel après 50 ans, même sans symptômes apparents. Une intervention précoce, même pour une perte auditive légère, pourrait significativement réduire votre risque de déclin cognitif à long terme.

Le tour de taille : la mesure qui prédit plus de maladies que votre poids

Comment seulement 2 cm de tour de taille supplémentaires peuvent-ils augmenter votre risque cardiaque de 17% ?

La graisse viscérale, celle qui s’accumule autour de vos organes abdominaux, agit comme un organe endocrinien dysfonctionnel. Elle produit des cytokines inflammatoires qui circulent directement vers votre foie et votre cœur via la veine porte. Une étude du European Heart Journal montre qu’une augmentation de seulement 2 cm de tour de taille élève le risque cardiaque de 17%.

Contrairement à la graisse sous-cutanée, visible mais relativement inoffensive, la graisse viscérale perturbe votre métabolisme même en quantité modérée. Des personnes apparemment minces peuvent porter une quantité dangereuse de cette graisse toxique, phénomène connu sous le nom de « TOFI » (Thin Outside, Fat Inside).

Pourquoi le ratio taille/hanche inquiète-t-il davantage les cardiologues que l’IMC ?

Le ratio optimal taille/hanche devrait rester sous 0,85 pour les femmes et 0,9 pour les hommes. Au-delà, chaque augmentation de 0,01 point correspond à une élévation de 5% du risque cardiovasculaire global, selon une méta-analyse incluant 650 000 participants.

Ce ratio révèle non seulement votre distribution adipeuse mais aussi votre profil hormonal. Une silhouette « pomme » (graisse abdominale) signale souvent un déséquilibre entre œstrogènes et testostérone, avec des implications métaboliques profondes.

Comment cibler spécifiquement la graisse abdominale sans perdre de poids global ?

Les aliments riches en polyphénols comme les baies, le thé vert et le chocolat noir ciblent spécifiquement l’inflammation liée à la graisse viscérale. Une étude du Journal of Nutritional Biochemistry montre qu’une consommation régulière de ces aliments peut réduire la graisse abdominale sans modification du poids total.

Des recherches récentes sur le microbiome intestinal révèlent que certaines souches bactériennes influencent directement le stockage abdominal des graisses. L’enrichissement de votre flore avec des prébiotiques spécifiques pourrait modifier votre physiologie de stockage adipeux indépendamment de votre apport calorique.

La densité osseuse : le marqueur silencieux du métabolisme général

Comment vos os peuvent-ils révéler la santé de tous vos autres organes ?

Vos os ne sont pas de simples structures de soutien mais de véritables organes endocriniens. Ils sécrètent des hormones comme l’ostéocalcine qui régule le métabolisme du glucose, la fertilité et les fonctions cognitives. Une faible densité osseuse signale souvent des troubles métaboliques bien avant leur manifestation clinique.

Des chercheurs de Columbia University ont établi que les personnes avec ostéopénie présentent 42% plus de marqueurs inflammatoires systémiques. Cette inflammation chronique à bas bruit affecte progressivement tous vos organes vitaux et accélère le vieillissement global.

Pourquoi ce test rarement prescrit peut-il prédire votre santé future avec 10 ans d’avance ?

La densitométrie osseuse (DEXA) prédit avec une précision remarquable votre risque de fracture, mais pas uniquement. Une analyse rétrospective de la Mayo Clinic montre que ce test prédit également le risque de maladies auto-immunes avec 7 à 10 ans d’avance.

Au-delà du T-score standard, les médecins spécialistes examinent désormais la microarchitecture osseuse. Cette analyse fine révèle des informations sur votre santé métabolique globale, votre équilibre hormonal et même l’efficacité de votre système immunitaire.

Comment maintenir une densité osseuse optimale sans recourir aux suppléments traditionnels ?

Contrairement aux idées reçues, consommer plus de calcium ne garantit pas automatiquement une meilleure santé osseuse. L’équilibre calcium-magnésium-vitamine K2 détermine l’utilisation effective du calcium par vos os plutôt que sa déposition dans vos artères.

Les exercices de résistance avec impact modéré stimulent la formation osseuse plus efficacement que la plupart des suppléments. Dix minutes de sauts, montées d’escaliers ou squats quotidiens peuvent augmenter significativement votre densité osseuse, même après 60 ans.

La fréquence cardiaque au repos : votre âge biologique en un chiffre

Que révèle chaque battement supplémentaire de votre cœur sur votre espérance de vie ?

Votre fréquence cardiaque au repos reflète l’efficacité globale de votre système cardiovasculaire. Une étude du JAMA Cardiology révèle qu’une fréquence dépassant 70 battements par minute augmente la mortalité globale de 78%, indépendamment de tous les autres facteurs de risque connus.

Chaque battement supplémentaire représente un effort cardiaque cumulé considérable. Un cœur battant à 80 pulsations par minute effectue 42 millions de contractions supplémentaires par an comparé à un cœur battant à 60, accélérant ainsi son vieillissement mécanique.

Comment évaluer votre véritable condition physique sans bouger de votre lit ?

La mesure matinale au réveil, avant même de vous lever, offre l’évaluation la plus fiable de votre condition cardiovasculaire de base. Placez délicatement deux doigts sur votre carotide ou votre poignet et comptez les battements pendant 60 secondes complètes.

La variabilité de votre fréquence cardiaque – l’écart entre vos battements successifs – constitue un indicateur encore plus sophistiqué. Des applications comme HRV4Training ou EliteHRV permettent de mesurer cette variabilité avec une précision proche du matériel médical.

Quelles techniques simples peuvent réduire naturellement votre fréquence cardiaque pour gagner des années de vie ?

L’entraînement régulier en endurance peut réduire progressivement votre fréquence cardiaque de repos de 10 à 15 battements par minute. L’effet « bradycarde athlétique » apparaît généralement après 8 à 12 semaines d’exercices réguliers à intensité modérée.

La respiration cohérente, pratiquée 10 minutes par jour, synchronise votre rythme cardiaque et votre respiration. Cette technique simple, validée par la Cleveland Clinic, peut abaisser votre fréquence cardiaque de repos de 4 à 6 battements par minute en seulement trois semaines.

Votre corps vous parle à travers ces sept indicateurs, bien avant l’apparition des symptômes. Contrairement aux analyses médicales complexes, ces chiffres vous offrent un tableau de bord simple que vous pouvez suivre vous-même. Commencez par mesurer ceux qui vous sont accessibles, notez-les, et observez leurs variations. Ce simple geste vous place déjà parmi la minorité informée qui comprend que la santé se construit sur des données précises, pas sur des impressions. À votre prochaine visite médicale, demandez ces mesures spécifiques – votre médecin sera surpris par votre perspicacité. Mais surtout, rappelez-vous que chaque indicateur que vous améliorez réécrit littéralement votre futur biologique.

Questions fréquentes sur les indicateurs de santé

À quelle fréquence faut-il mesurer chacun des 7 indicateurs de santé ?

La fréquence idéale varie selon l’indicateur : pression artérielle (mensuelle), cholestérol LDL (annuelle), glycémie (semestrielle), hearing number (annuelle après 50 ans), tour de taille (trimestrielle), densité osseuse (tous les 2 ans après 50 ans) et fréquence cardiaque au repos (hebdomadaire).

Peut-on améliorer ces indicateurs après 60 ans ?

Absolument. Des études montrent que même après 70 ans, des modifications ciblées du mode de vie peuvent améliorer significativement ces 7 indicateurs. La plasticité physiologique persiste tout au long de la vie, permettant des améliorations notables à tout âge.

Ces indicateurs sont-ils également pertinents pour les femmes et les hommes ?

Oui, mais avec des nuances importantes. Les seuils critiques varient selon le sexe pour certains indicateurs comme le tour de taille et la densité osseuse. De plus, certaines périodes spécifiques comme la ménopause modifient l’interprétation et l’importance relative de certains marqueurs.

Faut-il consulter un médecin si un seul indicateur est anormal ?

Un seul indicateur légèrement hors norme ne justifie pas nécessairement une consultation immédiate, mais constitue un signal d’alerte. Si l’anomalie persiste après 1-2 mois d’efforts ciblés ou si plusieurs indicateurs sont anormaux simultanément, une consultation médicale devient alors recommandée.

Quelles applications mobiles permettent de suivre ces 7 indicateurs ?

Plusieurs applications intégratives comme MyFitnessPal Premium, Apple Health, Google Fit ou Withings Health Mate permettent de centraliser le suivi de ces indicateurs. Des applications plus spécialisées comme Cardiogram (fréquence cardiaque), SmartBP (tension), ou Mimi (hearing number) offrent un suivi plus précis pour chaque métrique spécifique.


NattoKinase : 6200 % d’augmentation, l’incroyable succès de ce supplément mais pas que…

L’enzyme nattokinase est en train de captiver l’attention des adeptes de la santé et des chercheurs à travers le monde. Issue d’un processus de fermentation unique des graines de soja bouillies avec une bactérie appelée Bacillus subtilis natto, cette enzyme semble posséder des bienfaits prometteurs, notamment pour le système cardiovasculaire.

Nattokinase enzyme proteine

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Une enzyme au cœur de la santé cardiaque

La nattokinase est particulièrement recherchée pour son rôle dans le soutien de la santé cardiaque. Elle agit en réduisant la formation de caillots sanguins, un facteur clé dans la prévention de maladies graves telles que l’hypertension, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et la thrombose veineuse profonde. Ces propriétés anti-inflammatoires en font également une solution potentielle pour lutter contre certaines affections chroniques.

Avec des modes de vie de plus en plus sédentaires et des régimes alimentaires déséquilibrés, les maladies cardiovasculaires touchent des populations de plus en plus jeunes. Aux États-Unis, les crises cardiaques chez les moins de 40 ans ont connu une hausse notable ces dix dernières années, un phénomène alarmant qui pousse les jeunes générations à chercher des solutions préventives.

Une tendance en pleine explosion

L’intérêt pour la nattokinase se reflète dans l’augmentation spectaculaire des recherches en ligne. Ces cinq dernières années, les requêtes pour « nattokinase supplement » ont bondi de 6200 %. Ce chiffre témoigne d’un engouement mondial pour les compléments alimentaires à base de cette enzyme. Rien qu’un seul paquet de capsules de nattokinase génère environ 137 000 $ par mois sur Amazon, démontrant à quel point ce marché est en pleine expansion.

Les compléments alimentaires pour le cœur, dont la nattokinase, s’inscrivent dans une tendance plus large nommée « Young Adult Heart Care ». Outre la nattokinase, plusieurs autres produits gagnent en popularité auprès des personnes soucieuses de leur santé cardiovasculaire. Parmi eux, les heart chews et les compléments à base de safran se distinguent par leurs bienfaits spécifiques et leur accessibilité.

Les alternatives tendance à la nattokinase

Les heart chews : une solution gourmande pour le cœur

Les heart chews, littéralement des « gommes pour le cœur », combinent plaisir et santé. Ces petits bonbons gélifiés, souvent enrichis en nutriments essentiels tels que les oméga-3, les coenzymes Q10 ou encore les antioxydants, sont conçus pour soutenir la fonction cardiaque tout en étant faciles à intégrer dans une routine quotidienne. Leur format pratique et leur goût agréable les rendent particulièrement attractifs pour les jeunes actifs et les personnes cherchant des alternatives aux pilules traditionnelles.

Certaines marques associent même les heart chews à des ingrédients naturels comme les extraits de baies ou de plantes reconnues pour leurs vertus cardiovasculaires. Cette combinaison de bienfaits santé et de plaisir gustatif a contribué à propulser ces produits en tête des ventes dans le domaine des compléments pour le cœur.

Le safran : un trésor aux multiples bienfaits

De son côté, le safran, épice précieuse et reconnue pour ses propriétés médicinales depuis des siècles, connaît une renaissance dans le secteur des suppléments. Les compléments à base de safran sont plébiscités pour leurs effets apaisants et leur capacité à réguler le stress, facteur de risque majeur pour les maladies cardiovasculaires.

En plus de son rôle potentiel dans la gestion du stress, des études ont mis en lumière son action bénéfique sur la circulation sanguine et la réduction des inflammations. Ces vertus en font un allié précieux pour les personnes cherchant à maintenir leur cœur en bonne santé. Associé à un mode de vie équilibré, le safran peut jouer un rôle complémentaire dans la prévention des maladies chroniques.

La complémentarité des solutions

Les heart chews, le safran, et la nattokinase ne sont pas forcément des concurrents. Au contraire, ils s’inscrivent dans une approche holistique de la santé cardiovasculaire, répondant à des besoins variés : prévention des caillots sanguins, amélioration de la circulation, gestion du stress et plaisir gustatif. Cette diversité d’options reflète l’évolution des attentes des consommateurs, qui privilégient désormais des solutions adaptées à leur mode de vie tout en étant naturelles et efficaces.

Des questions ? Voilà les réponses :

  • Qu’est-ce que la nattokinase exactement ?
    La nattokinase est une enzyme issue de la fermentation de graines de soja avec une bactérie spécifique, Bacillus subtilis natto. Elle est réputée pour ses bienfaits sur la santé cardiaque et circulatoire.
  • Peut-on consommer de la nattokinase sans risque ?
    La plupart des gens peuvent consommer des compléments de nattokinase sans problème, mais il est recommandé de consulter un professionnel de santé, surtout en cas de traitement anticoagulant.
  • Pourquoi les jeunes s’intéressent-ils aux compléments pour le cœur ?
    Avec la hausse des crises cardiaques chez les moins de 40 ans, de nombreux jeunes recherchent des solutions naturelles pour prévenir ces problèmes, d’où l’engouement pour des compléments comme la nattokinase.

Comment choisir le meilleur brûleur de graisse pour votre régime?

Les meilleurs brûleurs de graisse pour une perte de poids efficace

Si vous êtes à la recherche d’un moyen efficace pour brûler les graisses, vous avez probablement déjà entendu parler des brûleurs de graisse. Ces compléments alimentaires sont conçus pour vous aider à perdre du poids en augmentant votre métabolisme et en réduisant votre appétit. Cependant, avec autant de choix disponibles sur le marché, comment savoir quel est le meilleur pour vous?

meilleur-bruleur-de-graisseLes meilleurs brûleurs de graisse sont ceux qui ont des ingrédients naturels et efficaces, sans effets secondaires négatifs. Voici une liste des cinq meilleurs brûleurs de graisse pour les hommes et les femmes selon les experts de la nutrition et de la santé:

Les ingrédients à rechercher dans un brûleur de graisse efficace

La clé pour trouver un brûleur de graisse efficace est de rechercher les ingrédients actifs dans la formule. Voici quelques ingrédients que vous devriez rechercher:

1. La caféine

La caféine est un stimulant naturel qui peut augmenter votre métabolisme et brûler les graisses. Elle peut également vous donner un coup de pouce d’énergie pour vos entraînements.

2. La carnitine

La carnitine est un acide aminé qui aide votre corps à utiliser les graisses comme source d’énergie. Elle peut également améliorer votre capacité à faire de l’exercice.

3. Le thé vert

Le thé vert contient des antioxydants appelés catéchines, qui peuvent stimuler votre métabolisme et brûler les graisses.

4. Le konjac

Le konjac est une fibre soluble qui peut absorber l’eau dans votre estomac et vous faire sentir rassasié plus longtemps.

5. Le poivre de Cayenne

Le poivre de Cayenne contient un composé appelé capsaïcine, qui peut augmenter votre métabolisme et brûler les graisses.

Comment utiliser les brûleurs de graisse pour des résultats optimaux?

Si vous décidez d’utiliser un brûleur de graisse, il est important de suivre les instructions du fabricant et de ne pas dépasser la dose recommandée. Les brûleurs de graisse ne sont pas une solution magique pour la perte de poids, ils doivent être utilisés en conjonction avec une alimentation saine et un programme d’exercice régulier.

Il est également important de noter que les brûleurs de graisse ne conviennent pas à tout le monde. Si vous avez des problèmes de santé, vous devriez consulter votre médecin avant de prendre des suppléments pour perdre du poids.

En outre, les brûleurs de graisse peuvent avoir des effets secondaires tels que des maux de tête, des nausées et de l’anxiété. Si vous ressentez des effets secondaires négatifs, arrêtez immédiatement de prendre le supplément.

Comment intégrer les brûleurs de graisse dans votre régime?

Si vous décidez d’utiliser un brûleur de graisse, vous devez l’intégrer dans votre régime alimentaire et votre programme d’exercice. Voici quelques conseils pour vous aider à intégrer les brûleurs de graisse dans votre vie quotidienne:

1. Suivez les instructions

Assurez-vous de suivre les instructions du fabricant pour la dose recommandée et le moment de la journée pour prendre le supplément.

2. Faites de l’exercice régulièrement

Les brûleurs de graisse fonctionnent mieux en conjonction avec un programme d’exercice régulier. Essayez de faire de l’exercice au moins 30 minutes par jour, cinq jours par semaine.

3. Adoptez une alimentation saine

Manger une alimentation saine et équilibrée est essentiel pour la perte de poids. Évitez les aliments transformés et riches en graisses et en sucres. Concentrez-vous sur les légumes, les fruits, les protéines maigres et les glucides complexes.

4. Hydratez-vous

Buvez beaucoup d’eau pour rester hydraté et aider votre corps à brûler les graisses.

Conclusion

Les brûleurs de graisse peuvent être un outil efficace pour vous aider à perdre du poids, mais ils ne sont pas une solution magique. Il est important de choisir un brûleur de graisse avec des ingrédients naturels et efficaces, de suivre les instructions du fabricant et de l’intégrer dans votre régime alimentaire et votre programme d’exercice. Si vous avez des problèmes de santé, consultez votre médecin avant de prendre des suppléments pour perdre du poids. N’oubliez pas que les résultats varient d’une personne à l’autre et que la perte de poids durable nécessite un engagement à long terme envers une alimentation saine et un mode de vie actif.

Il est également important de noter que les brûleurs de graisse ne sont pas recommandés pour les femmes enceintes ou qui allaitent, ainsi que pour les enfants. Il est préférable de consulter un professionnel de la santé avant d’envisager l’utilisation de brûleurs de graisse si vous êtes dans l’une de ces catégories.

Il existe de nombreux brûleurs de graisse sur le marché, mais il est essentiel de choisir celui qui convient le mieux à vos besoins et à votre corps. Les ingrédients naturels comme la caféine, la carnitine, le thé vert, le konjac et le poivre de Cayenne sont des choix populaires pour leurs propriétés de combustion des graisses.

Enfin, il est important de garder à l’esprit que les brûleurs de graisse ne sont pas une solution à court terme pour la perte de poids. Pour obtenir des résultats durables, il est important de suivre un régime alimentaire sain, de faire de l’exercice régulièrement et de maintenir un mode de vie actif.

En résumé, les brûleurs de graisse peuvent être un outil efficace pour vous aider à atteindre vos objectifs de perte de poids, mais ils doivent être utilisés en conjonction avec un régime alimentaire sain et un programme d’exercice régulier. Assurez-vous de choisir un brûleur de graisse avec des ingrédients naturels et efficaces, de suivre les instructions du fabricant et de consulter votre médecin si vous avez des problèmes de santé.

Prédiabète : comment le gérer sans risques de l’augmenter ?

Le prédiabète est-il préoccupant ?

Il est vrai que la notion de prédiabète a été introduite pour alerter les patients et les professionnels de la santé sur le risque de développer le diabète de type 2. Cependant, certains experts ont soulevé des préoccupations quant à l’impact de cette catégorisation sur les patients.

En effet, le terme prédiabète peut faire croire aux patients qu’ils sont atteints d’une maladie alors qu’il s’agit simplement d’une augmentation légère de leur taux de sucre dans le sang. Cette perception peut entraîner une anxiété inutile chez les patients, les amenant à croire qu’ils doivent prendre des médicaments ou suivre un régime restrictif, alors que cela n’est pas nécessaire dans de nombreux cas.

Par ailleurs, il est important de noter que toutes les personnes présentant un prédiabète ne développeront pas nécessairement un diabète de type 2. En fait, selon une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association, seulement un tiers des personnes présentant un prédiabète développeront un diabète de type 2 dans les 10 ans suivant le diagnostic.

Il est donc crucial pour les professionnels de la santé d’informer les patients atteints de prédiabète sur les mesures qu’ils peuvent prendre pour prévenir le développement du diabète de type 2, telles que l’adoption d’un mode de vie sain, incluant une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et un maintien d’un poids santé.

Bien que la notion de prédiabète puisse être utile pour alerter les patients sur le risque de développer un diabète de type 2, il est important de rappeler que cela ne signifie pas nécessairement qu’ils sont atteints d’une maladie. Les patients atteints de prédiabète devraient être informés des mesures qu’ils peuvent prendre pour réduire leur risque de développer un diabète de type 2 et éviter toute anxiété inutile.

prevenir prediabeteComment gérer son prédiabète ?

Le prédiabète est un état où les niveaux de sucre dans le sang sont plus élevés que la normale mais pas suffisamment pour être considérés comme diabétiques. Selon les Centers for Disease Control and Prevention, environ un tiers des adultes américains ont le prédiabète. Cela signifie qu’ils sont à risque de développer un diabète de type 2 dans les années à venir. Dans cet article, nous examinerons ce qu’est le prédiabète, comment il est diagnostiqué et géré, ainsi que les moyens de réduire le risque de développer un diabète de type 2.

Les causes et les symptômes du prédiabète

Le prédiabète est causé par une résistance à l’insuline, ce qui signifie que le corps ne peut pas utiliser correctement l’insuline pour réguler les niveaux de sucre dans le sang.

Le prédiabète peut être asymptomatique, ce qui signifie qu’il n’y a pas de symptômes évidents. Cela peut conduire à une augmentation des niveaux de sucre dans le sang, qui peut entraîner des symptômes tels que :

  • Soif excessive
  • Envie fréquente d’uriner
  • Fatigue
  • Vision floue

Si vous présentez l’un de ces symptômes, il est important de consulter votre médecin pour un examen complet.

Le diagnostic du prédiabète

Le prédiabète est diagnostiqué à l’aide d’un test sanguin qui mesure le taux de glucose dans le sang. Si votre taux de glucose est supérieur à la normale, mais pas assez élevé pour être considéré comme du diabète, vous pouvez être diagnostiqué avec un prédiabète.

Prévention du prédiabète :

Les habitudes de vie jouent un rôle crucial dans la prévention du prédiabète et du diabète. Voici quelques conseils pour prévenir le prédiabète :

  1. Faire de l’exercice régulièrement : L’exercice aide à maintenir un poids santé et améliore la sensibilité à l’insuline. L’American Diabetes Association recommande de faire au moins 150 minutes d’exercice d’intensité modérée par semaine.
  2. Avoir une alimentation équilibrée : Manger des aliments riches en fibres, en protéines et en glucides complexes peut aider à maintenir une glycémie stable. Il est important d’éviter les aliments transformés et riches en sucre.
  3. Maintenir un poids santé : Être en surpoids ou obèse est un facteur de risque important pour le prédiabète et le diabète. Perdre du poids peut aider à réduire le risque.
  4. Éviter le tabac et l’alcool : Le tabagisme et la consommation excessive d’alcool peuvent augmenter le risque de prédiabète et de diabète.

Conclusion :

Le prédiabète est un état de santé potentiellement dangereux qui peut entraîner des complications graves s’il n’est pas traité. Bien que le diagnostic de prédiabète puisse sembler inquiétant, il est important de se rappeler que la plupart des personnes prédia­bétiques ne deviennent pas diabétiques. En modifiant les habitudes de vie, il est possible de prévenir ou de retarder l’apparition du diabète. Il est important de consulter un médecin pour effectuer des tests de dépistage du prédiabète si l’on présente des facteurs de risque, tels qu’un indice de masse corporelle élevé, une hypertension artérielle ou une histoire familiale de diabète.

Sources :

  • Prediabetes : why you should care ?Ashkan ZandKarim Ibrahim, Bhargavi Patham
  • The Lancet Diabetes & Endocrinology. Prediabetes: a chance to prevent diabetes. Lancet Diabetes Endocrinol 2017;5(8):571.
  • Si vous cherchez des sources récentes en français sur le prédiabète, voici quelques suggestions que vous pourriez trouver utiles :
    • La Revue Médicale Suisse a publié un article intitulé « Prédiabète : identification, évaluation et prise en charge » en janvier 2022.
    • Le Journal International de Médecine a publié un article intitulé « Le prédiabète, une entité clinique bien définie » en décembre 2021.
    • La Revue d’Epidémiologie et de Santé Publique a publié un article intitulé « Dépistage du prédiabète en France : quelles stratégies pour quelles populations ? » en septembre 2021.

Les nombreux avantages d’un régime à base de plantes

Les régimes à base de plantes sont de plus en plus populaires de nos jours. Ils sont sains, savoureux et faciles à suivre – et peuvent même offrir des avantages pour la santé. Les avantages d’un régime à base de plantes sont nombreux.

Tout d’abord, un régime à base de plantes peut aider à prévenir et à gérer les maladies cardiaques et le diabète. Les aliments à base de plantes sont riches en fibres alimentaires, en vitamines et en minéraux, ce qui peut aider à maintenir un taux de cholestérol sain et à prévenir l’hypertension artérielle. Les aliments à base de plantes sont également plus faibles en gras saturés et en cholestérol, ce qui les rend plus sains pour le cœur.

avantages plantes regimeLes plantes peuvent-elle prévenir le cancer ?

De plus, un régime à base de plantes peut aider à prévenir le cancer. Les aliments à base de plantes sont riches en antioxydants, qui aident à protéger les cellules du corps contre les dommages causés par les radicaux libres. Les aliments à base de plantes sont également riches en vitamines et en minéraux, qui peuvent aider à réduire le risque de cancer.

Enfin, les régimes à base de plantes sont bons pour la santé mentale et l’humeur. Les aliments à base de plantes sont riches en vitamine B, en magnésium et en acides gras oméga-3, qui aident à réguler l’humeur et à améliorer la santé mentale. Les aliments à base de plantes sont également riches en antioxydants, qui peuvent aider à réduire le stress et à renforcer le système immunitaire.

Un régime à base de plantes peut sembler difficile à suivre, mais il n’en est rien. Il existe de nombreuses recettes simples et délicieuses qui sont faciles à préparer et à intégrer à votre mode de vie. Il existe également de nombreuses sources d’inspiration en ligne, notamment des blogs et des livres de cuisine.

En plus d’être sain et savoureux, un régime à base de plantes est également bon pour la planète. Les aliments à base de plantes sont généralement plus durables à produire et à consommer qu’un régime riche en produits d’origine animale. De plus, les aliments à base de plantes sont généralement plus respectueux de l’environnement et ont moins d’impact sur l’écosystème.

Enfin, un régime à base de plantes peut être un moyen plus rentable et plus facile d’atteindre et de maintenir un poids santé. Les aliments à base de plantes sont généralement plus faibles en calories et plus riches en nutriments que les produits d’origine animale. De plus, les aliments à base de plantes sont généralement moins chers et plus faciles à intégrer à votre budget alimentaire.

plantes comestible regimeLes plantes peuvent être la source de nombreux avantages

Comme vous pouvez le voir, les avantages d’un régime à base de plantes sont nombreux. Les aliments à base de plantes sont bons pour la santé cardiaque, le cerveau et le système immunitaire, et sont plus durables pour l’environnement. De plus, les aliments à base de plantes sont savoureux, abordables et faciles à intégrer à votre mode de vie. Si vous recherchez un moyen sain et savoureux de maintenir votre santé et votre bien-être, un régime à base de plantes est une excellente option.

Un régime à base de plantes peut également aider à prévenir et à gérer plusieurs autres maladies, notamment l’arthrite, la cataracte, la sclérose en plaques et le diabète de type 2. Les aliments à base de plantes sont riches en vitamines, en minéraux et en antioxydants, qui peuvent aider à réduire l’inflammation et à protéger contre le vieillissement prématuré des cellules du corps. De plus, les aliments à base de plantes peuvent aider à contrôler le taux de sucre dans le sang et à réduire le risque de maladies liées au mode de vie.

Améliorer son humeur et bien être grâce aux plantes !

Les régimes à base de plantes peuvent également aider à améliorer votre humeur et votre bien-être mental. Les aliments à base de plantes sont riches en vitamine B, en magnésium et en acides gras oméga-3, ce qui peut aider à réduire l’anxiété, à améliorer l’humeur et à soutenir la santé mentale. Les aliments à base de plantes sont également riches en antioxydants, qui peuvent aider à réduire le stress et à renforcer le système immunitaire.

Enfin, les régimes à base de plantes peuvent être bénéfiques pour votre peau. Les aliments à base de plantes sont riches en antioxydants et en vitamines, qui peuvent aider à protéger votre peau contre les dommages causés par les radicaux libres et à la garder hydratée. De plus, les aliments à base de plantes sont riches en bêta-carotène et en vitamine C, qui peuvent aider à réduire l’apparence des rides et à protéger contre le vieillissement prématuré de la peau.

En conclusion, les avantages d’un régime à base de plantes sont nombreux. Les aliments à base de plantes sont bons pour la santé cardiaque, le cerveau et le système immunitaire, et sont plus durables pour l’environnement. De plus, les aliments à base de plantes sont savoureux, abordables et faciles à intégrer à votre mode de vie. Enfin, les aliments à base de plantes peuvent aider à prévenir et à gérer plusieurs maladies, et à améliorer votre humeur et votre bien-être mental, ainsi que votre apparence physique. Si vous êtes à la recherche d’un mode de vie sain et savoureux, un régime à base de plantes est une excellente option.

Il est important de se rappeler que les régimes à base de plantes ne sont pas sans risque et doivent être suivis avec précaution. Les aliments à base de plantes peuvent être riches en calories, ce qui peut entraîner une prise de poids si vous en consommez trop. De plus, certains aliments à base de plantes peuvent ne pas contenir suffisamment de vitamines et de minéraux essentiels, ce qui peut entraîner des carences nutritionnelles. Il est donc important de parler à votre médecin avant de commencer un régime à base de plantes ou tout autre régime alimentaire.

Trouver les meilleures gouttes autobronzantes qui rendent votre peau lumineuse et naturelle

Le bronzage est l’un des looks les plus populaires et racés de la saison, mais obtenir un teint hâlé sans avoir à passer des heures sous le soleil peut être difficile. Heureusement, il y a une solution : les gouttes autobronzantes. Ces produits fonctionnent en appliquant une petite quantité sur votre visage ou sur tout le corps pour vous offrir un teint hâlé instantanément. Il existe de nombreux produits qui promettent d’améliorer l’apparence de votre peau, mais ils ne sont pas tous égaux. Pour vous aider à trouver le meilleur produit pour vos besoins et votre budget, nous avons compilé une liste des meilleures gouttes autobronzantes disponibles sur le marché aujourd’hui.

Quels sont les avantages des gouttes autobronzantes ?

Les gouttes autobronzantes offrent de nombreux avantages par rapport aux crèmes solaires traditionnelles et à l’exposition au soleil directe. Elles permettent d’obtenir un bronzage uniforme sans manque ou accumulation de pigments car elle sont faciles à appliquer. Les gouttes autobronzantes contiennent des ingrédients actifs qui non seulement donnent un effet instantané mais optimisent également la production naturelle de mélanine pour obtenir un teint plus uniforme et durable que celui obtenu par l’exposition directe au soleil ou par utilisation répétée d’une crème solaire classique. De plus, elles hydratent en profondeur la peau et améliorent sa texture grâce à leurs propriétés exfoliantes douces qui éliminent les cellules mortes de la surface de la peau tout en stimulant son renouvellement cellulaire naturel pour révéler une beauté saine et rayonnante au fil du temps.

gouttes bronzage tubeQuel type de goutte autobronzante choisir ?

Il existe différents types de produits sur le marché selon votre type et tonicité cutanée. Si vous recherchez une option bon marché, optez pour les lotions pour le corps spécialement conçues pour sublimer les couleurs naturelles de la peau après quelques applications régulières pendant plusieurs jours consécutifs afin d’amplifier graduellement l’effet glowy souhaité sur toute sa surface corporelle . Par contre si votre objectif est d’avoir un résultat immersif plus prononcé , optez plutôt pour des sprays spasmin-off exclusifs visage dont l’application est très simple , rapide , sans salissure ni débordements inopinés ; cette gamme propose également plusieurs nuances adaptables selon la carnation souhaitée allant du blanc cassée jusqu’à une bronzite intense .

Comment utiliser correctement les gouttes autobronzantes ?

Avant toute application , prêtez attention aux zones très sensibles comme derrière les genoux , dos des mains ou coudes afin d’apporter une attention supplémentaire notamment en ce qui concerne certains ingrédients lorsque cela est possible . Il est primordial que vous exfoliiez bien votre peau avant chaque application afin d’avoir un beau résultat uniforme – veillez même à bien nettoyer le dos de vos oreilles car on tend à y oublier ce détail ! Une fois la prise habituelle quotidienne faite , attendez 24 heures entières voire 48 heures minimum entrecoupée par une bonne hydratation sporadique (journée alternance maximum ) pesant bien moins que trop abondante car ceci risquerait alterer inopinément son apparence ; puis recommencez tranquillement cette boucle jusqu’à atteindre son but tant convoité : sensualité set and go !

Comment choisir le bon produit ?

Il est important de prendre en compte plusieurs facteurs lorsque vous sélectionnez un produit autobronzant, notamment la qualité des ingrédients et le type de peau pour lequel il est conçu. Si vous avez une peau sèche ou très sèche, optez pour une lotion hydratante qui contient des agents hydratants tels que l’huile d’argan ou le beurre de karité qui aideront à garder votre peau hydratée et en bonne santé tout au long du processus. Si votre peau est grasse ou mixte, optez pour un produit matifiant qui contient des ingrédients comme l’acide salicylique ou la vitamine C pour contrôler les niveaux d’huile et réduire les imperfections cutanées.

Quels sont les risques liés à l’utilisation des gouttes autobronzantes ?

Bien que les gouttes autobronzantes soient considérées comme un moyen relativement sans danger d’avoir une belle couleur hâlée, elles ne sont pas sans risque. Les produits contiennent souvent des composés chimiques actifs tels que le DHA (acide déhydroacétique) qui peut causer des irritations cutanées chez certaines personnes sensibles. De plus, si elles ne sont pas utilisées correctement, elles peuvent provoquer des taches et une coloration inégale sur la peau. Il est donc important de toujours suivre les instructions fournies sur l'emballage afin d’obtenir le résultat souhaité sans nuire à votre santé et à votre beauté.

Bon à savoir :

  • Toujours exfolier préalablement avant application
  • Lire attentivement la formulation du produit
  • Vérifier si le produit est adapté au type de sa peau

Les gouttes autobronzantes proposent à ceux qui recherchent un bronzage rapide et naturel une solution attrayante et durable pour obtenir un teint hâlé lumineux en toute confiance. Les bons produits offriront non seulement un effet instantané mais amélioreront également graduellement l’apparence de la peau pour obtenir une texture plus uniforme et éclatante au fil du temps . Cependant , il convient d’être vigilant quant aux différents composants chimiques qu’ils comportent car certains peuvent être allergisants ; veillez donc bien respecter les consignes indiqués par chaque fabricant afin d’utiliser cette alternative judicieusement sans compromettre sa beauté !

Les gouttes autobronzantes : le moyen le plus simple et le plus sûr pour obtenir un teint hâlé

Obtenir un beau bronzage sans se ruiner en vacances ? C’est possible grâce aux gouttes autobronzantes, qui permettent d’afficher un teint halé rapidement et à moindre coût. Ces produits, utilisés depuis des années par les professionnels du maquillage, sont aujourd’hui accessibles à tous. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut savoir sur les gouttes autobronzantes, de la composition à l’application !

Les gouttes autobronzantes sont des produits naturels qui contiennent du DHA (acide dioxyde de dihydroxyacétone), une molécule issue de la canne à sucre ou du maïs. Lorsqu’elle est appliquée sur la peau, elle réagit avec l’ammoniac et forme lorsqu’elle est oxydée un composé appelé mélanoidines qui donnent à la peau une teinte hâlée. Le résultat est visible après environ 4 heures et atteint son maximum au bout de 24 heures.

Comment choisir ses gouttes autobronzantes ?

Le marché des gouttes autobronzantes est très riche en termes de gamme et de prix. Il est important de bien prendre soin avant d’acheter votre produit en veillant à ce que celui-ci convienne parfaitement à votre type de peau et vos attentes. La plupart des fabricants proposent des formules adaptables selon le niveau souhaité de bronzage : lumière pour une couleur naturelle ou intense pour plus d’effet physique. Vérifiez également les ingrédients utilisés afin que votre produit ne comporte pas d’ingrédients susceptibles de provoquer une allergie ou irriter votre peau.

gouttes bronzageComment appliquer les gouttes autobronzantes ?

L’application des gouttes autobronzantes doit être faite avec précaution afin d’obtenir un résultat optimal :

  • Commencez par vous démaquiller puis exfoliez doucement votre peau pour éliminer les cellules mortes.
  • Appliquez ensuite votre produit en massant doucement jusqu’à absorption complète.
  • Nettoyez vos mains immédiatement après application.

Quel entretien pour conserver son bronzage ?

Pour maintenir durablement son bronzage obtenu grâce aux gouttes autobronzantes, il est important d’adopter une bonne routine beauté :

      • Hydratez régulièrement votre peau avec des crèmes riches en actifs hydratants.
      • Limitez l’exposition au soleil car le rayonnement ultraviolet accroît la dégradation du pigment.
      • Utilisez après chaque douche un soin exfoliant pour masquer progressivement le hâle.

Quelle fréquence conseillée ?

En règle générale, il est recommandé d’appliquer les gouttes autobronzantes 1 à 2 fois par semaine pour obtenir un beau bronzage et le conserver. Toutefois, cette fréquence peut varier selon votre type de peau et vos attentes. Si vous souhaitez obtenir des résultats plus intenses ou plus durables, il est conseillé d’utiliser des produits plus concentrés dans la gamme et/ou d’espacer les applications. Pour éviter tout risque de surdosage, veillez toujours à respecter scrupuleusement les conseils indiqués sur l'emballage du produit.

Quels sont les avantages des gouttes autobronzantes ?

Les gouttes autobronzantes sont une alternative très pratique pour se faire bronzer sans devoir se rendre à la plage ou passer des heures au soleil. Elles offrent aussi de nombreux avantages :

  • Résultat naturel et uniforme.
  • Teint hâlé durable allant jusqu’à 7 jours.
  • Pas d’exposition aux UV, donc pas de risques pour la santé.

Bon à savoir :

Les gouttes autobronzantes ne remplacent en aucun cas le bronzage obtenu grâce aux rayons du soleil. Il est important de bien hydrater sa peau en permanence afin d’optimiser son effet hâlé et prolonger sa durée !

Grâce aux gouttes autobronzantes, vous pouvez obtenir instantanément un teint halé naturel sans prendre le moindre risque pour votre santé ! Ces produits offrent une solution simple et efficace pour être bronzée en toute saison et ce, sans exposition aux rayons du soleil ou dépense supplémentaire. En choisissant le bon produit et en suivant quelques conseils simples, vous afficherez un beau bronzage durable qui vous rendra fière de votre look !

Trouver les meilleures gouttes autobronzantes qui rendent votre peau lumineuse et naturelle

 

Comment maintenir une alimentation saine chez les personnes âgées et quels aliments privilégier?

La combinaison de la nutrition et de l’activité physique est un excellent allié pour vieillir en bonne santé. Malheureusement, des études récentes ont montré que la malnutrition est trois fois plus fréquente après l’âge de 70 ans. Cela s’explique par des difficultés de mastication, des problèmes de déglutition, la dépression et la solitude, entre autres facteurs liés au vieillissement.

Conséquences de la malnutrition chez les personnes âgées

La malnutrition peut détériorer la qualité de vie des personnes âgées, et est également liée à une augmentation de certains problèmes, tels que :

  • Risque accru de mortalité
  • Un taux d’infection plus élevé
  • Augmentation des risques de chutes et de fractures
  • Une perte accrue de la masse musculaire, qui peut à son tour entraîner une plus grande déficience fonctionnelle et une dépendance.
  • Difficulté accrue pour les plaies et les ulcères à guérir
  • Augmentation de la durée de l’hospitalisation
  • Aggravation des maladies chroniques et aiguës.

Pour toutes ces raisons, il est essentiel de détecter à un stade précoce cette carence en nutriments chez les personnes âgées et d’encourager sa prévention.

Caractéristiques d’un régime alimentaire sain après 70 ans

Le régime méditerranéen peut servir de guide, car il inclut la consommation de fruits, de légumes, de noix, de légumineuses, d’huile d’olive et de poisson. Et l’apport calorique doit être suffisant pour poursuivre l’activité quotidienne, ainsi que pour maintenir le poids. Il doit donc y avoir un équilibre entre l’apport énergétique et la dépense calorique.

De même, il faut intégrer les recommandations médicales nécessaires pour adapter le régime à certaines pathologies, comme le diabète, l’hypertension, l’insuffisance rénale, les problèmes de mastication et de déglutition, la prise de certains médicaments.

Il ne faut pas oublier qu’il est important de revoir périodiquement les directives relatives à la médication, surtout chez les personnes âgées polymédicamentées, qui peuvent subir des altérations du goût et de l’odorat, voire perdre l’appétit.

Aliments interdits aux plus de 70 ans

En général, les personnes âgées en bonne santé peuvent digérer presque tous les aliments. Toutefois, il est vrai qu’ils peuvent moins bien tolérer les excès de nourriture, les aliments frits, les rôtis, les ragoûts et les sauces, en raison du ralentissement physiologique de la digestion, fréquent à un âge avancé.

Limiter la consommation des aliments suivants :

  • Sucre
  • Alcool
  • Boissons gazeuses ou contenant des stimulants.
  • Sel, épices et condiments. Évitez de dépasser six grammes de sel par jour.
  • Des saucisses. Ne doit être consommé que quelques jours par semaine.
  • Supplémentation en protéines pour les personnes âgées : oui ou non ?
    De plus en plus de parents nous interrogent sur le recours à la supplémentation des préparations nutritionnelles, que l’on peut acheter en pharmacie, et nous demandent si elles sont utiles pour leur force.

Il est préférable de discuter de la consommation de ces compléments protéinés de manière personnalisée avec l’équipe médicale, car il convient de consommer la bonne quantité de protéines dans chaque cas. En fait, une consommation excessive de protéines peut affecter la fonction rénale et entraîner une surcharge, ce qui peut augmenter le risque de goutte et de calculs rénaux.

D’autre part, il existe des pathologies liées à l’âge pour lesquelles un apport moindre en protéines est nécessaire. Ou l’inverse peut se produire, nécessitant un apport plus élevé en protéines, en cas de fractures de la hanche et de processus oncologiques, entre autres situations.

C’est pourquoi il est essentiel de consulter des spécialistes au sujet de la consommation de ces compléments.

Quelle quantité d’activité physique les personnes âgées doivent-elles pratiquer ?

Dans la mesure du possible, nous recommandons deux promenades par jour d’une demi-heure chacune, à un rythme qui permet de marcher sans fatigue, mais qui rend difficile la tenue d’une conversation à cette intensité.

Si nous voulons atteindre un véritable équilibre alimentaire, nous devons combiner une alimentation saine avec une activité physique régulière. C’est pourquoi nous suggérons moins de pilules et plus d’entraîneurs.

Comment maintenir une alimentation saine chez les personnes âgées et quels aliments privilégier? 17 erreurs dans le régime alimentaire des personnes âgées

Il est courant d’entendre certains de ces faux mythes sur le régime alimentaire des personnes âgées :

  1. Normaliser un manque d’appétit chez les personnes âgées. Le manque d’appétit est un signe d’alerte chez les personnes âgées et ne doit donc pas être considéré comme normal pour cette tranche d’âge. Souvent, cette perte d’appétit est due à des maladies organiques ou psycho-affectives, qui, avec une thérapie appropriée, peuvent être améliorées et ainsi prévenir des conséquences plus graves. Donc, si c’est un signe, la meilleure chose à faire est de consulter un médecin.
  2. Croire que les personnes âgées qui se reposent ou sont alitées n’ont pas besoin de ne presque rien manger. C’est une erreur, car même dans ces circonstances, il y a toujours une consommation d’énergie de base. En effet, la quantité d’énergie consommée peut augmenter en cas de maladie, d’infection, de brûlure, etc.
  3. Limiter la consommation de liquides chez les personnes âgées souffrant de maladies cardiaques ou de dysfonctionnement rénal. Il n’est pas conseillé de restreindre l’apport en liquide sans l’avis d’un spécialiste. Il est vrai que les liquides ne doivent être modérés qu’en cas de décompensation aiguë et avec l’indication de l’équipe gériatrique. Pendant la phase stable, il est recommandé de boire la quantité quotidienne recommandée de liquides pour éviter un manque d’hydratation.
  4. Penser que l’alimentation n’a aucune influence sur la constipation. C’est faux. Le régime alimentaire, ainsi que l’apport en liquide et l’exercice physique, ont une grande influence sur le rythme des selles. C’est pourquoi, en cas de doute, nous vous conseillons de consulter un gériatre, qui vous indiquera les modifications nutritionnelles à apporter pour soulager la constipation et la prescription de laxatifs si nécessaire. En outre, il est important d’éviter de prendre des médicaments en vente libre, car ils peuvent être dangereux.
  5. Lier la malnutrition uniquement aux faibles revenus. C’est une erreur, car une alimentation plus équilibrée peut être obtenue sans coût élevé. On observe une relation entre une consommation plus élevée de pâtisseries et de produits précuits lorsqu’il n’y a pas de soignant ou de membre de la famille pour s’occuper de la nourriture et aider à faire les courses.
  6. Ne pas consulter un médecin en cas d’anémie. La croyance erronée selon laquelle les personnes âgées souffrent d’anémie parce qu’elles mangent trop peu est tellement répandue que la visite chez le médecin est parfois reportée pour cette raison. En réalité, l’anémie est un signe d’alerte dont il faut évaluer la cause.
  7. Négliger la santé bucco-dentaire. Il est très important de maintenir une bonne santé bucco-dentaire chez les personnes âgées.

Comment perdre du poids à plus de 40 ans et ne plus jamais en reprendre

Votre corps ne peut pas éviter de prendre de la graisse avec l’âge, mais vous pouvez faire trois choses pour perdre du poids et éviter que le résultat ne soit excessif

Innocent de vous, qui pensiez vous débarrasser de vos kilos superflus… Mais vous ne l’avez pas fait. En fin de compte, cela vous est arrivé comme à (presque) tout le monde : vous avez atteint la quarantaine et vous avez réalisé que l’expérience n’est pas la seule chose que vous accumulez. Il est clair que vous ajoutez quelques kilos en trop et, pire encore, vous n’avez aucune idée d’où ils viennent. Et encore moins comment s’en débarrasser. Et ce n’est pas que vous ayez mauvaise mine – ni vous ni personne – mais que vous avez déjà entendu mille fois que l’accumulation de graisses augmente le risque de développer des maladies cardiovasculaires et qu’elle peut également avoir des conséquences métaboliques. Ce n’est pas non plus le meilleur moyen de garder son corps agile et en forme, ce qui est aussi la santé… La bonne nouvelle est qu’il y a trois choses que vous pouvez faire pour perdre du poids et, ce faisant, éviter de reprendre les kilos que vous avez perdus.

En fait, la prise de poids qui se manifeste à la quarantaine est le résultat d’un processus qui commence vers la trentaine. Et ça ne s’arrête plus. À partir de là, on commence à perdre de la masse musculaire, à raison de 8 % tous les dix ans, ce qui entraîne le fameux changement du métabolisme, où la perte de tissu réduit également l’eau du corps.

Moins il y a de masse musculaire, moins le corps a besoin d’énergie pour fonctionner, mais comme le corps ne prévient pas qu’il s’est opposé à ce processus, on continue à manger comme avant. En d’autres termes, l’énergie que vous aviez l’habitude d’ingérer et qui était adéquate provoque maintenant un surplus calorique sans que vous vous en rendiez compte. Au final, tout ce qui reste sera transformé en graisse, la réserve d’énergie la plus dense dont dispose le corps. Chez les personnes sédentaires, elle aura tendance à s’accumuler dans le ventre chez les hommes, et dans les hanches et les cuisses chez les femmes. C’est pourquoi un ajustement calorique est la première étape pour perdre du poids à maturité.

Ne célébrez pas vos progrès en trinquant avec de l’alcool

Si vous cherchez un chiffre, peut-être 300 calories sont ce qu’il vous faut. Selon une étude de l’université de Duke, la réduction de cette énergie par un apport quotidien régulier réduit considérablement le risque de problèmes cardiovasculaires et d’hypertension, ainsi que l’insulinorésistance et l’obésité. Même les personnes minces peuvent bénéficier de cette coupe, qui, compte tenu de la tendance naturelle à perdre de la masse musculaire avec l’âge, mérite d’être envisagée dès 40 ans. Mais il faut faire attention au choix des aliments qui vont dans le panier et de ceux qui restent dans les rayons du supermarché.
Il est fortement déconseillé de ne considérer que la valeur énergétique d’un produit, car il existe tout un melting-pot d’aliments qui, « bien qu’ils contiennent apparemment beaucoup d’énergie, sont bénéfiques pour tous les nutriments qu’ils apportent » (l’huile d’olive et les noix en sont deux exemples). Face à cela, il propose de commencer par éliminer d’abord les choses qui ne devraient pas être là parce qu’elles ont une forte teneur en énergie et fournissent peu ou pas de nutriments. Et le premier à tomber, c’est l’alcool. « Un gramme d’alcool contient 7,5 kcal, c’est-à-dire presque autant d’énergie qu’un gramme de graisse, ce qui donne 9 kcal, contre les 4 kcal que l’on trouve pour chaque gramme de glucides et de protéines, respectivement », énumère l’expert. « Son chemin se termine pratiquement dans le foie et c’est là qu’il se transforme en graisse », résume-t-elle.

Sachant que nous vivons dans une société où l’alcool est intimement lié aux célébrations, réduire sa consommation à zéro peut être presque impossible (il n’y a pas besoin d’être aussi strict quand ce que l’on veut c’est perdre du poids, autre chose est que c’est une substance toxique…). Mais M. Sanchidrián souligne que les boissons à faible teneur en alcool seront toujours moins caloriques. En d’autres termes, il vaut mieux s’en tenir à la bière qu’au vin, par exemple. La recommandation la plus constante à l’heure actuelle est « moins d’alcool, mieux c’est », car il est très difficile de convaincre un consommateur régulier d’arrêter complètement de boire, explique M. Benítez.

Le deuxième élément à réduire est le sucre, qui n’apporte rien d’autre que de l’énergie au corps sur le plan nutritionnel. «  »De plus, cela déclenchera l’insuline pour son métabolisme et finira probablement par se transformer en graisse », affirme la diététicienne-nutritionniste, qui rappelle également que « dans le régime alimentaire espagnol moyen, suffisamment de sucres simples sont déjà consommés, il est donc jugé nécessaire de réduire leur consommation » ». Les produits transformés doivent également être rayés de la liste des achats. « Ce sont des aliments qui, manquant de fibres, ne satisfont pas, mais qui sont hypercaloriques et très savoureux… Il est très difficile de contrôler leur consommation et ils n’ont pas de nutriments », résume M. Sanchidrián.

Une fois que vous avez enlevé ces trois éléments de base, vous pouvez arrêter de soustraire et commencer à ajouter des ingrédients… pour un régime hypocalorique, qui consiste à perdre du poids. Par exemple, « deux fruits par jour – idéalement arrosés comme de la pastèque ou du melon, car la concentration de sucre dans un seul morceau sera la moitié de celle d’une banane, par exemple – et trois légumes – les salades de laitue, de roquette ou d’épinards sont fortement recommandées pour leur effet rassasiant », énumère M. Sanchidrián. Une fois que vous avez atteint un poids plus sain, vous ne devez pas trop vous écarter de cette ligne pour ne pas la reprendre. En général, M. Benítez soutient que le régime alimentaire doit être basé sur des produits d’origine végétale tels que les légumes, les fruits, les noix, les céréales complètes et les légumineuses (le régime hypocalorique doit comprendre trois à quatre portions de légumineuses pendant la semaine – en raison de sa composition, M. Sanchidrián recommande les pois chiches en raison de leur contenu nutritionnel, bien qu’il rappelle qu’il est important de varier). En outre, il est conseillé d’incorporer du poisson (blanc et bleu), et d’essayer de réduire la consommation de viande, surtout rouge.

Vous marchez une heure par jour ou travaillez 60 minutes par semaine à pleine capacité

Si le maintien d’un poids sain signifie ralentir la perte de masse musculaire, il est évident que l’exercice physique qui permet de construire des muscles (en plus de brûler les graisses) y contribuera. C’est le deuxième objectif du plan, et la stratégie consiste à répartir l’entraînement entre le cardio et la musculation. Rien qu’on ne vous ait déjà dit. Mais si cela fait des années que vous n’avez pas fait de sport, le physiothérapeute et entraîneur personnel est clair : « Vous devez sortir et marcher tous les jours et parvenir à faire 10 000 pas, et si vous échouez, augmentez la durée à une heure par jour à un rythme compris entre 115 et 140 battements par minute ». Il existe des études qui soulignent que ce type d’exercice, connu sous le nom de LISS (low intensity and long duration exercise), augmente le métabolisme des graisses à ce rythme de 60 minutes pour être utilisé comme source d’énergie . Bien sûr, tout le monde n’a pas une heure par jour pour cela…

L’alternative est l’entraînement intervalliste, le fameux HIIT, qui se fait en séances de 20 minutes maximum où des exercices de haute intensité sont entrecoupés de pauses. « Avec ce type d’entraînement, nous brûlons jusqu’à une heure de marche », explique Maria Laitinen, entraîneuse basée à Londres, qui vient de lancer Fit in Fifteen, une initiative visant à encourager les débutants à essayer ce système chez eux. Pour voir les résultats, nous recommandons de commencer par deux ou trois séances par semaine, à une intensité dont il est impossible de parler.

En ce qui concerne la musculation, Prieto recommande de commencer par ceux qui utilisent différentes articulations et font appel à de nombreux muscles différents pour gagner de la masse musculaire, pendant 45 minutes, 2 à 3 fois par semaine. L’entraîneur, qui a l’habitude de travailler avec des personnes d’âge moyen, souligne que les squats sont particulièrement utiles, avec trois séries de 12 à 15 répétitions – ou tellement que, si vous en faisiez deux de plus, vous ne pourriez pas bouger – et en laissant une pause d’une minute entre les deux. Il recommande également les assiettes : « L’idéal est de faire une minute et de se reposer plus de 40 secondes », explique M. Prieto, « et de répéter l’exercice environ six ou sept fois. En outre, il recommande de les faire devant le miroir « pour vérifier que nous ne coulons pas et que nous gardons le dos droit ».

Il est également bon de monter les marches deux à la fois, en veillant à ce que « le genou reste à 90 degrés, d’où les deux marches », explique M. Prieto. L’idée est de grimper d’un côté puis de l’autre jusqu’à atteindre presque autant de marches que si vous en montez deux de plus, vous ne pourrez plus bouger (oui, finir pour traîner est une constante…). Il propose ensuite de se reposer pendant deux à trois minutes et demie, et de faire trois à quatre séries, en évitant à tout moment que le dos n’aille trop loin en avant pour réduire les risques de blessure. En quatrième position, le spécialiste met en évidence les fesses, avec lesquelles il exerce les épaules, la poitrine et les triceps. « Si vous venez de commencer, il est conseillé de les faire à partir d’une surface élevée, à un mètre de hauteur, pour éviter de s’enfoncer en les faisant, c’est-à-dire pour pouvoir monter et descendre sans problème ». Là encore, l’entraîneur recommande 12 à 15 répétitions, avec un total de trois à quatre séries, et une pause d’environ 60 secondes.

Mais ne vous attendez pas à des résultats immédiats : des études sur la réduction de la graisse abdominale ont montré qu’elle ne disparaît pas avant au moins la douzième semaine de votre entraînement. Mais les effets sont durables, et les habitudes d’exercice sont cruciales pour éviter la prise de poids à long terme. Soyez patients. Et prenez beaucoup de repos.

Regarder son téléphone portable la nuit, c’est aussi s’engraisser
Le troisième objectif à prendre en compte pour perdre les kilos que l’âge nous a fait prendre est le repos, car à 40 ans, le corps commence à être moins performant dans la récupération des forces. La raison en est qu’en vieillissant, nous perdons la capacité de dormir profondément, ce qui entraîne davantage d’insomnies pendant la nuit. Cela affecte également notre poids, car il a été démontré que le manque de sommeil est également associé à une réduction de la leptine (une hormone qui inhibe le désir de manger) et à une augmentation de la ghréline (une autre hormone qui réveille la sensation d’appétit). Cela nous donne plus faim le lendemain et nous avons tendance à manger plus que nécessaire.

Pour aggraver les choses, un grave manque de sommeil réduit également la capacité à construire de la masse musculaire. Un bon repos est donc essentiel pour perdre du poids. Comme l’âge n’est pas de notre côté lorsqu’il s’agit de mieux dormir, nous pouvons au moins commencer par bannir certaines mauvaises habitudes afin qu’elles n’aggravent pas le reste. L’une d’entre elles consiste à laisser les écrans de téléphone loin de soi avant de s’endormir, car ils semblent être les ennemis d’un bon repos car ils peuvent empêcher la séparation de la sérotonine pendant la nuit, une hormone qui influence les rythmes circadiens et régule le sommeil. Cela peut être difficile à une époque où il semble que l’habitude d’être toujours disponible s’impose, mais ne compense-t-elle pas le fait de gagner en santé en se repassant l’oreille ? Eh bien, c’est tout.

C’est le meilleur exercice pour éliminer la graisse selon 30 études scientifiques

Non pas que vous vous soyez laissé aller, non, mais avec les enfants, le travail et les rares occasions de socialisation qu’offre la nouvelle « normalité », vous n’avez plus le temps de bouger. Et vous pensez que vous avez quelques courbes et kilos supplémentaires. Le pèse-personne le confirme, tout comme votre indice de masse corporelle : il est de 26, et le surpoids commence à 25. Pas d’excuses, c’est la santé qui est en jeu. S’occuper de son alimentation n’est pas toujours facile, mais les occasions ne manquent pas; il faut manger tous les jours. Cependant, il semble impossible de trouver du temps pour l’activité physique… Comment tirer le meilleur parti du peu qu’il vous reste pour vous déplacer ?

Une méta-analyse publiée dans la revue Obesity Reviews (voir la source en bas de page) répond à la question dans ce que Gren O’Donoghue, professeur adjoint de physiothérapie à l’University College Dublin et responsable de l’étude, décrit comme « la plus grande analyse à ce jour de ce qu’est la prescription optimale d’exercice pour les adultes obèses ».
Ce n’est pas étonnant : les scientifiques ont passé au crible tout ce qui a été publié au cours des 30 dernières années dans le domaine pour voir comment obtenir le plus grand impact possible en investissant le même temps. Et ils ont eu la finesse d’analyser les options les plus courantes : les exercices de cardio à faible ou forte intensité (course ou marche, par exemple), les travaux de force à forte ou faible intensité (comme l’haltérophilie) et le mélange des deux types.

En fonction de vos résultats, une combinaison d’exercices d’aérobic et de résistance musculaire de haute intensité est la plus efficace. En d’autres termes, le cardio et la force sans lésiner. « C’est la confirmation d’une tendance que nous avons constatée dans de nombreuses études ces dernières années », déclare César Bustos, diplômé en sciences du sport et membre de la Société espagnole pour l’étude de l’obésité. L’expert ajoute que les bénéfices observés dans ce type de formation, que les scientifiques ont limité dans ce rapport aux personnes obèses, sont également à la portée de « la population générale ». Il s’agit notamment de la diminution plus importante de l’IMC et du volume de graisse corporelle.

La raison pour laquelle la course à pied d’abord et la levée de poids à haute intensité ensuite, par exemple, sont si efficaces est que les deux activités se complètent. Alors que l’exercice aérobique « améliore la capacité cardiovasculaire et l’endurance du corps », le travail de force augmente « la capacité du corps à utiliser la graisse comme source d’énergie », résume Bustos. Si les forces des deux sont combinées, l’effet est plus important que si elles sont faites séparément.

obesite-gras-regimeVous perdrez du poids même si vous ne le perdez pas en cours de route

Le plan est assez clair, mais il ne fonctionnera pas si l’on ne s’occupe pas des détails. La première est que, quel que soit l’exercice, toutes les routines testées au travail duraient entre 30 et 60 minutes chacune, et les participants aux études les avaient pratiquées pendant au moins deux mois d’affilée. Pour les exercices cardio, la fréquence était de trois à cinq fois par semaine, tandis que pour les exercices d’endurance, elle était réduite à trois fois par semaine. En termes d’intensité, l’exercice aérobique intense est celui où les pulsations dépassent 75 % de la fréquence cardiaque maximale (qui varie d’une personne à l’autre et se calcule en soustrayant l’âge de 220 ans). Si ce seuil n’était pas dépassé, les chercheurs considéraient qu’il s’agissait d’une activité de faible intensité. Le travail de force était plus ou moins intense selon le poids soulevé : la forte intensité était basée sur des charges supérieures à 75% du poids maximum que chaque participant était capable de soulever.

Ce qui n’est pas clair, c’est quelles activités étaient en deuxième et troisième position, au cas où vous voudriez varier votre routine. Si l’on tient compte uniquement de la réduction de l’indice de masse corporelle et de l’amélioration de la santé cardio-respiratoire, il semble que l’exercice aérobie de haute intensité donne de meilleurs résultats, avec un score de 0,78 et 0,64 sur 1, respectivement. Mais dans les résultats en termes de perte de poids et de réduction de la graisse corporelle, la deuxième place correspond à l’intensité moyenne combinée, avec des scores de 0,66 et 0,69.

Comment combiner force et cardio pour brûler les graisses, se muscler ou courir un marathon

Si vous vous trompez sur l’ordre, l’intensité et la fréquence, vous vous saboterez mutuellement
Pour ce qui est du béton, c’est-à-dire que vous couriez ou rouliez à vélo, souleviez des poids ou travailliez avec votre propre poids, vous devez tenir compte du fait que chaque personne est un monde et que, dans le cas de l’obésité, le risque de souffrir de blessures et d’usure des articulations augmente. L’idéal est de voir un spécialiste qui étudie chaque cas mais, en général, certains avantages ont été constatés dans la combinaison de l’entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT) avec l’entraînement de résistance à haute intensité. La première améliore la santé cardiovasculaire et aide à brûler les graisses. Elle est particulièrement intéressante pour les personnes en surpoids pour deux raisons : premièrement, il a été observé qu’elle améliore la régulation de l’appétit ; deuxièmement, elle nécessite un investissement en temps moindre que les autres modalités, ce qui favorise l’adhésion.

Il a également été observé que la combinaison de l’HIIT et de la résistance à haute intensité favorise une consommation supplémentaire d’oxygène après l’exercice. Ce phénomène consiste en ce que, en plus d’utiliser l’oxygène pendant l’entraînement pour obtenir de l’énergie des muscles, le corps l’utilise pour restaurer ces mêmes muscles une fois l’exercice terminé. En fin de compte, on perd du poids parce que davantage de graisses et de glucides sont décomposés au cours du processus de récupération.

Les experts habitués à établir des routines d’entraînement pour les personnes obèses proposent une autre alternative, qui est « la marche à grande vitesse – comme si nous manquions le bus – ou l’escalade de collines » pour l’entraînement aérobic et les squats classiques, « effectués pendant 30 secondes à intensité maximale répétée pendant 4, 6, ou 8 séries avec un temps de repos de 60 secondes » pour l’entraînement à la résistance.

muscle perte poidsBien plus que des muscles: faire des exercices pour optimiser le système immunitaire

Axer la prescription d’exercice sur la perte de poids est voué à l’échec. Cela signifie qu’en faisant de l’exercice, vous perdez de la graisse mais gagnez de la masse musculaire, et vous compensez cela sur la balance. Ne vous laissez pas tromper par les chiffres, vous aurez l’air plus mince même si vous pesez le même poids, car un kilo de graisse prend presque trois fois plus qu’un kilo de muscle : « Vous avez peut-être perdu, disons, cinq kilos de graisse et gagné autant de muscle, mais vous avez aussi perdu trois fois plus de volume », explique M. Bustos. Ou encore, ce qui revient au même, dépenser deux fois moins et gagner en santé. De plus, l’exercice physique sans régime alimentaire approprié ne fait pas maigrir : « Pour traiter la perte de poids, le plus important est d’apprendre à manger différemment. Et puis, utilisez l’exercice comme un booster et un fortifiant », conclut Bustos. Il n’y a pas de raccourcis, mais il y a toujours du temps.

Comment corriger la musculation lorsque votre propre poids ne suffit plus

On peut ajouter du lest pour le rendre plus intense, mais il existe trois variantes de ces exercices qui permettent d’alléger ce poids
Les habitués du gymnase ont dû se réinventer par l’enfermement. Et avec ce qu’il y a dessus. La plupart ont opté pour de nouvelles routines afin de continuer à s’entraîner avec leur seul poids corporel. Qu’auraient-ils pu faire d’autre ? D’autres personnes ont commencé à faire de l’exercice comme ça : les grimpeurs, les squats, les pompes et les fers à repasser, tout cela est une expérience unique. Si vous êtes l’un d’entre eux, vous avez prouvé que c’était un bon choix, et il est probable que six mois plus tard vous soyez accro à ce genre de travail de force musculaire, qui ne nécessite même pas d’avoir des haltères. Mais peut-être avez-vous l’impression d’être coincé. Les mêmes squats, les mêmes pompes et le même repassage, même un peu plus, et on ne voit pas de résultats. Ou alors, vous vous ennuyez tout simplement. Et ce que vous voulez, c’est progresser, vous sentir plus fort, plus agile. Que pouvez-vous faire ? Eh bien, la même chose que vous feriez au gymnase : changer de modèle.
Lorsqu’il s’agit d’augmenter l’intensité d’un entraînement de force conventionnel, il existe une solution simple : mettre plus de poids. Mais si les haltères et les poids russes n’entrent pas dans l’équation, lorsque vous vous entraînez avec votre seul poids corporel – qui a une masse plus ou moins constante – la stratégie est plus sophistiquée.

Pompes à une main et croisement des jambes dans les foulées

« Changer l’angle d’attaque signifie modifier la posture avec laquelle vous exécutez un mouvement, générant ainsi un nouveau stimulus qui va demander de nouvelles adaptations musculaires. Par exemple, lors d’une flexion, les coudes sont séparés d’environ 30 degrés de la cage thoracique. En les collant juste un peu plus au corps, vous exercez déjà une variation du stimulus et vous forcez le muscle à s’adapter différemment. Il en va de même pour une marche arrière. Au niveau débutant, vous le faites avec les jambes alignées. Pour monter d’un niveau, il suffit de croiser la jambe qui va vers l’arrière, ce qu’on appelle une « foulée en arc ». Cela ajoute une certaine instabilité et modifie l’angle d’attaque des jambes et des fesses. Les possibilités de modification sont presque infinies, pour autant qu’elles soient techniquement correctes.

Avec ces exercices, vous parvenez non seulement à continuer à développer vos muscles (rappelez-vous qu’il ne s’agit pas seulement d’une question d’esthétique), mais ces petits changements posturaux apportent d’autres avantages. « Si vous continuez à prendre du poids, comme dans l’entraînement sur machine, l’exercice est essentiellement le même. En variant la posture, nous forçons également les adaptations neuromusculaires ». Ces adaptations consistent à optimiser le système nerveux, à rendre plus de fibres synchronisées entre elles et les connexions sont très rapides.

Pour intégrer l’instabilité, il faut supprimer les points de soutien, ce qui augmente considérablement la difficulté. « Ce n’est pas la même chose de faire des fonds de poitrine avec deux pieds joints et appuyés sur le sol que d’ouvrir les jambes. Ou, pour rendre les choses encore plus compliquées, en levant une jambe. Ces astuces non seulement durcissent le travail des pectoraux et des bras, mais exigent aussi un travail important pour stabiliser le noyau. Un léger changement de posture suffit pour augmenter sensiblement le résultat : « Cela vous fait sortir de votre zone de confort et, ce faisant, vous brûlez plus de calories.

Il reste un troisième facteur qui est souvent négligé dans l’effervescence de la salle de sport

La mobilité, tout simplement.
« Etre en forme est la somme de trois composantes : la force, la souplesse et l’endurance cardiovasculaire. Si vous ne travaillez que sur vos forces, vous finissez par stagner. Ou vous manquez d’autres compétences. Si vous n’avez pas de souplesse et d’endurance cardiovasculaire, vous n’obtenez pas un bon ensemble. Mais c’est la même chose si vous n’êtes qu’un coureur. Vous pouvez peut-être terminer un marathon, mais vos muscles deviennent plus raides et vous devez gagner en élasticité, en coordination et en mobilité. Monter d’un niveau, c’est ne perdre de vue aucun de ces facteurs.

Pas d’haltères, profitez du mur

Ne pas remplir la maison avec des haltères et des poids russes est apprécié dans le budget ; votre famille ou vos colocataires vous en sont également reconnaissants. En retour, vous pouvez demander la permission d’utiliser une partie du mobilier, comme le siège de la chaise, pour monter les escaliers. Et n’oubliez pas le mur ; vous ne pouvez pas imaginer ce que c’est : « Pensez à un squat [et aux innombrables façons dont il peut être exécuté]. Vous pouvez le faire normalement, avec les deux pieds au sol, ou vous pouvez mettre un pied sur le siège d’une chaise, ou vous pouvez le faire plus profond en écartant beaucoup les jambes et en vous appuyant sur deux chaises – plus de chaises – pour garder votre équilibre. Une autre option consiste à s’appuyer contre le mur, d’abord avec deux jambes, puis avec une seule. Sur une échelle de 1 à 10, 1 serait un squat normal. Le faire avec une jambe en posant le pied sur un siège, quelque chose comme un 4. Mur avec une jambe, un 6. Oser avec un accroupissement au pistolet (avec une jambe tendue vers l’avant et ne touchant pas le sol), un 8.

Il en va de même pour le travail des biceps et des triceps. Les exercices anti-gravité sont parfaits pour les triceps

C’est-à-dire que toute personne qui implique l’extension de ces muscles pour vous faire décoller du sol ou vous éloigner du mur est la bienvenue. « Les biceps peuvent très bien être exercés en suspension », par exemple, en se suspendant à une barre ou à une branche d’arbre. Dans ce cas, comme dans celui de l’accroupissement, moins il y a de points d’appui, plus l’effort est important ; se suspendre aux deux bras n’est pas la même chose que se suspendre à un seul bras, c’est clair. « Cela vaut également pour les planches. Vous commencez par vous appuyer sur les deux genoux, puis vous vous déplacez sur la pointe des pieds, enlevez un pied et le bras opposé, essayez de bouger… ». Vous cherchez à rendre les choses encore plus compliquées ? Rendez-le explosif : incorporez des sauts au sol, montez une marche… Au poids de votre corps, vous ajouterez l’accélération au moment de toucher le point d’appui.

Il existe de nombreuses options pour rendre votre entraînement aux poids encore plus agréable, et tout ce que vous faites pour monter d’un niveau s’additionne. Mais comment savoir quand on en fait trop ? « L’épreuve consiste à maintenir une technique correcte en 6 et 12 répétitions. Si vous tremblez, vous vous penchez, vous boitez ou vous n’arrivez pas du tout, vous n’êtes pas encore prêt à passer à autre chose. C’est le problème de beaucoup lorsqu’ils s’approchent de la gymnastique suédoise : ils cherchent des exercices très colorés, qui font bien sur les photos, mais leur corps n’est peut-être pas encore prêt.

Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32896055/

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